Andre Vandamme

La vie spirituelle au-delà des religions

Publié par Géplu
Dans Divers

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samedi 9 février 2019
  • 11
    André VANDAMME
    19 août 2019 à 12h32 / Répondre

    Je suis l’auteur de ce livre et maçon du Rire Écossais Rectifié, dont la règle stipule expressément « l’Évangile est la base de nos obligations, si tu cessais d’y croire, tu cesserais d’être maçon. »
    Il s’agissait, au départ d’un ouvrage destiné aux seuls maçons du R.E.R. qui,comme nombre de nos contemporains confondent allégrement spiritualité et religion.
    Il s’agissait de démontrer que l’Évangile est indépendant de tous les dogmes inventés par la suite par les concepteurs de la première religion dite chrétienne.
    Ensuite est venue l’idée que cette démonstration méritait d’être mise à la disposition de tous les « évadés » du christianisme.
    Il est vrai que tout le monothéisme est concerné.
    Mais il ne revient pas à un chrétien de se mêler des religions qui ne sont pas la sienne.
    Si je parles du judaïsme dans mon ouvrage, c’est uniquement pour exprimer mes réticences quant à cette affirmation que le christianisme est un prolongement du judaïsme.
    Très fraternellement.

    • 12
      Désap.
      19 août 2019 à 21h41 / Répondre

      11 – Si on cesse de croire à l’évangile, on cesse d’être QUOI ? Maçon ???
      La religion et l’évangile c’est QUOI ? Différent ?????
      L’évangile est QUOI ? Indépendant de tout
      dogme ????
      Le christianisme n’est pas QUOI ? N’est pas un prolongement du judaïsme ????
      Evangile selon machin, verset truc, Jésus : « je ne suis pas venu abolir la loi, je suis venu l’accomplir »
      Donc, «La vie spirituelle au-delà des religions »  tout un livre de sornettes et d’intox.
      Chapeau !

      • 13
        André VANDAMME
        20 août 2019 à 16h19 / Répondre

        As-tu pris la peine de lire ce livre?
        L’objet de ce livre est justement de répondre à toutes ces questions que ne manquent pas de se poser également certains appentis ou impétrants au R.E.R.
        Le R.E.R. est un rite qui ne fait pas mystère de son adhésion aux sources du christianisme, c’est à dire à l’enseignement stricto sensu du Christ, avant que les religions ne s’en emparent.
        Personne n’est tenu d’être d’accord avec cela pour être un bon et fidèle maçon, mais il ne sera pas maçon du Rite Écossais Rectifié.
        Il n’empêche que tous les maçons sont Frères.
        Très fraternellement.
        André Vandamme

  • 7
    KOUA Hervé
    13 avril 2019 à 13h11 / Répondre

    《c’est à tout le monothéisme que doit s’appliquer le texte ci-dessus ; il ne convient plus de remettre en question que le seul christianisme, mais tout pareillement le judaïsme et l’islam. Au nom de quoi s’en prendre à une seule des trois religions du Livre et pas aux deux autres ? Un peu de courage !》

    Bien dit DOMINIQUE !

    • 8
      Désap.
      13 avril 2019 à 14h55 / Répondre

      Le judaïsme n’est pas prosélyte, en conséquence tout étranger à cette religion n’est pas fondé à lui reprocher quoique ce soit.
      Ceci bien entendu n’empêche nullement la critique théologique, ce que les juifs acceptent parfaitement au contraire des chrétiens et des musulmans.
      Par ailleurs, le judaïsme ne saurait porter la moindre responsabilité dans le contenu de ses plagiats .

      • 9
        Dominique Pérignon
        13 avril 2019 à 19h54 / Répondre

        « …le judaïsme ne saurait porter la moindre responsabilité dans le contenu de ses plagiats »
        Excellent ! L’humour juif est savoureux.
        Et dans le cas présent, tout à fait pertinent ;-))
        Mais dire que le judaïsme admet aisément la controverse théologique, c’est peut-être vrai pour les kabbalistes, moins pour les rabbins orthodoxes et les harredim en général.
        Enfin, les maçons sont bien placés pour savoir qu’une légende peut fort bien servir de fondement à un rite, en l’absence même de légitimité purement historique.

        • 10
          Désap.
          13 avril 2019 à 21h25 / Répondre

          Les juifs sont avant tout des gens normaux comme toi et moi, des laïques très loin des prises de tête que tu évoques, qui acceptent sans difficulté la controverse vis à vis de leur religion si elle est respectueuse.
          Je ne sais plus qui a dit une vérité : les juifs prient un dieu auquel il ne croit pas.
          .
          Ah non, pas de fondement justement, de cadre et uniquement de cadre, et c’est de là que part toute la confusion actuelle qui fait que les maçons ne parlent plus aujourd’hui que de principes bibliques parfaitement hors sujet en matière maçonnique. N’est-il pas de règle de ne pas parler de religion en loge ? Et ce n’est pas du tout pour éviter les conflits.

  • 2
    Bacot
    10 février 2019 à 10h27 / Répondre

    Le post christianisme a commencé.
    Une de ses composantes va être de revisiter la religion comme une légende.
    C’est le paysage des prochaines années.
    Les spiritualistes vont s’en donner à coeur joie.

    • 4
      yonnel ghernaouti, YG
      10 février 2019 à 16h42 / Répondre

      Jean-Pierre,

      Si le commencement du post christianisme c’est évaluer,en 2015, le nombre total de chrétiens dans le monde à 2,4 milliards individus, ce qui en fait la religion comptant le plus de fidèles, devant l’islam et l’hindouisme, je veux bien…

      • 5
        Bacot
        10 février 2019 à 18h49 / Répondre

        Yonnel,
        Je parle de la situation française et de quelques pays occidentaux, dont la Tchécoslovaquie.
        Il est évident, qu’aux Amériques en particulier, sauf au Canada où la situation est peu ou prou comparable à la nôtre, c’est bien différent. C’est là-bas l’évangélisme qui tient le haut du pavé.
        Cela dit, en France longtemps comme religion sera cet évangélisme et l’islam, concernant essentiellement les couches les moins éduquées et les plus pauvres de la société, celles qui sont, soit dit entre parenthèses les plus perméables au complotisme.
        La religion déserte les élites et, au delà, toute les couches moyennes. J’ai publié sur ces questions chiffres à l’appui sans avoir été démenti.

  • 1
    Anwen
    9 février 2019 à 5h31 / Répondre

    En 2003, Richard Khaitzine nous rappelait la chose suivante :
    « Concernant le pape Léon X (1475-1521), les historiens font l’impasse sur un document troublant et fort dérangeant qui tendrait à prouver que les érudits de la Renaissance étaient très sceptiques quant à l’authenticité des écrits ayant présidé à la fondation de la chrétienté et de l’église catholique. Ce document consiste en une lettre adressée par le pape à son ami et ancien secrétaire l’érudit cardinal Pietro Bembo, qui fréquentait Alde Manuce :
    « Quantum nobis prodest haec fabula Christi ! » (« Combien cette fable du Christ nous est-elle profitable ! »).
    Ce texte édifiant et surprenant fait partie des archives de la bibliothèque vaticane (Leonis X Petri Bembi… Epistolarum familiarum ; libri VI ; Venise, 1552). Une opinion aussi péremptoire et définitive de la part d’un pape oblige à réviser tout ce que nous croyions savoir de l’histoire des hommes, des religions et des arts qui en furent les supports. »
    Il manque à l’histoire des religions un grand chapitre : celui qui doit être consacré à l’origine réelle du Christianisme.
    Cette science n’existe pas. Les vraies origines chrétiennes sont inconnues, et les Eglises diverses qui se rallient à ce titre ne désirent pas qu’on les connaisse.
    L’histoire réelle du Christianisme n’a rien de commun avec le récit qui nous a été donné sous le nom de Nouveau Testament.
    Derrière ce Livre, caché par lui, est l’histoire d’un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, mais qui fut renversé, dénaturé et caché par des faussaires qui en firent une caricature grotesque et voulurent avec cela dominer le monde.
    Dans ce vaste réseau d’intrigues, que nous allons démasquer, presque toutes les personnalités ont été dénaturées. Le mensonge a triomphé et la réalité a disparu sous l’amas d’absurdités qu’on lui a substituées.
    La science religieuse des falsificateurs n’a été qu’une collection de mystères, jamais expliqués clairement, mais remplis de sous-entendus et de malentendus, de paraboles obscures, de rapprochements de termes sans signification, de jeux de mots pour les foules avides d’erreurs.

    • 3
      Dominique Perignon
      10 février 2019 à 11h33 / Répondre

      Elargissons la question : que savons-nous vraiment de la vie et du message originel (s’il y a eu) de Moïse, d’Abraham, et même de ce bon Roi Salomon à qui nous sommes censés tant devoir… ?
      Et que savons-nous vraiment de Mohamed/Mahomet ?
      Autrement dit, c’est à tout le monothéisme que doit s’appliquer le texte ci-dessus ; il ne convient plus de remettre en question que le seul christianisme, mais tout pareillement le judaïsme et l’islam. Au nom de quoi s’en prendre à une seule des trois religions du Livre et pas aux deux autres ? Un peu de courage !

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