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Géplu.
Bravo docte(s) frère(s), dès fois qu’Apulée et ses pétales de rose se changeraient en Montague – pardon pour le mauvais jeu de mots. Je me permets de rappeler que l’âne si décrié par les hussards noirs de la République qu’ils coiffaient d’un bonnet les cancres à l’école primaire; il fut d’abord un animal noble. Lire la Genèse, et voir à quoi était comparé Ismaël! Ou bien le Christ entrant à Jérusalem, pour ne pas vous abreuver d’exemples, je n’en gardai que deux. En fin de compte, Apulée et un prince de la littérature, et son animal Royal! C’est tout à l’honneur d’une loge d’avoir chois un tel nom!
Ane sans or…Ne dirait-on pas, pour mes frères belges, Ensor?
Même si la devise de cette Loge est banale (Asinus asinum fricat), l’histoire de l’Ane d’Or est très maçonnique. Il s’agit en fait d’un homme changé en âne, et qui se retransforme après avoir mangé des pétales de rose…
Il existe au coeur de l’opéra mozartien « Les Noces de Figaro », un clin d’oeil « appuyé » à l’Âne d’Or d’Apulée… Quel rapport ? L’Initiation qui emprunte divers chemins pour nous toucher !
Autre référence à cet animal sacré de la Tradition : l’Âne qui vielle sculpté sur la Cathédrale de Chartres… Que celui qui a des oreilles, entende ; )