oeil de la providence

L’œil de la providence, un vrai polar

Publié par Yonnel Ghernaouti
Dans Edition

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mercredi 15 mars 2017
  • 6
    redresseur
    17 mars 2017 à 17h41 / Répondre

    Bien Yonnel il est bon de détroller les blogs!

  • 5
    iem nt
    17 mars 2017 à 10h56 / Répondre

    Pour IEM NT, je n’ai pas lu le livre mais il est question d’inspecteurs dans la présentation.
    Si l’action se situe en 1985, c’est tout bon, les inspecteurs ont disparu en 1996.
    Je suis souvent en alerte sur les erreurs dans les polars, car j’ai dirigé les collections polars chez Magnard, et j’en ai écrit.
    Mais tout est bien qui finit bien…
    BBB
    Jack

  • 3
    iem nt
    16 mars 2017 à 14h40 / Répondre

    Le problème, c’est qu’il n’y a plus d’inspecteurs de police depuis plus de vingt ans en France, mais on en trouve encore chez des romanciers dont la documentation date de Simenon ou San Antonio. C’est un peu comme ceux qui appuient sur des gâchettes. Il y a au ministère de l’Intérieur un service communication qui peut éviter aux auteurs de faire des bévues, et on peut toujours se renseigner auprès de l’hôtel de police de sa ville.
    Quant aux commissaires, ils n’ont pas changé d’appellation depuis fort longtemps, mais le grade de commissaire principal a été supprimé il y a quelques années.
    BBB
    Jack

    • 4
      yonnel ghernaouti
      16 mars 2017 à 16h05 / Répondre

      Mon TC & BAF,

      Le roman se situe en mars 1985.
      L’auteur a repris donc, je pense, les appellations en vigueur au moment où son enquête se déroule.

      Pour mémoire, dans le cadre de la réforme des corps et des carrières voulues par la loi Pasqua du 21 janvier 1995, le corps des inspecteurs de police a disparu pour fusionner avec le nouveau corps de commandement et d’encadrement avec une nouvelle appellation pour les officiers qui, désormais, la composent : lieutenant, capitaine et commandant de police.

      Donc en 1985, le terme d’inspecteur me semble juste et parfait.

      L’auteur serait sans doute mieux placé que moi pour te répondre.

      Quant au corps de conception et de direction, il comprend trois grades, dont le premier est celui de commissaire de police, puis de commissaire principal de police et enfin de commissaire divisionnaire de police.
      A priori, la loi du 9 juillet 1966 qui institue la police nationale, répartit et rassemble en cinq corps les personnels de la sûreté nationale et de la préfecture de police de Paris maintient, avec les 4 autres corps, celui des commissaires de police. Elle semble être toujours en vigueur de nos jours.
      Très fraternellement.

      yonnel

  • 1
    iem nt
    15 mars 2017 à 12h15 / Répondre

    Y a t-il vraiment des inspecteurs de police dans ce thriller maçonnique ?
    Jack

    • 2
      yonnel ghernaouti
      15 mars 2017 à 19h02 / Répondre

      Mon TC & BAF,
      Mon TC Jack,
      Et oui, il semble bien qu’il y ait même un commissaire, qui répond au nom de Marcel Broust… Dans cette enquête criminelle il est aidé de ses deux adjoints,les inspecteurs Grégory Des Cartes et Robert Spinoza, qui investiguent sur la mort du très notable chef d’entreprise Joseph Raminovitch, le soir même de sa réception au sein d’une Loge de Clermont-Ferrand.
      Très fraternellement.
      yonnel

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