Une vidéo des 300 ans de la GLUA, en 2017

Publié par Géplu
Dans Divers

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dimanche 13 novembre 2022
  • 4
    Luciole
    13 novembre 2022 à 14h21 / Répondre

    Beaux décors.Pour les cérémonies ils sont imbattables.Chapeau.

    • 5
      JMB
      13 novembre 2022 à 18h32 / Répondre

      Pour la qualité des tenues ausssi ils sont également imbattables.

  • 3
    Fredoboleth
    13 novembre 2022 à 13h36 / Répondre

    Pomp and circumstance march ? Pas à dire, le cérémonial ils savent faire nos amis les Tommies

  • 2
    Pierre Noël
    13 novembre 2022 à 10h49 / Répondre

    Pour qui ne connait pas l’Albert Hall, faut voir « l’homme qui en savait trop » d’Alfred Hitchock (1956), avec James Steward et Daniel Gélin. Une scène particulièrement dramatique se déroule pendant un concert symphonique dans la grande salle de l’édifice, celle où a eut lieu la commémoration de 2017.
    C’est là aussi la dernière séance des Prom’s (en juin), ce haut lieu du folklore anglais (qui clôture une saison de concerts tout ce qu’il y a de sérieux) tous les hymnes classiques des insulaires, Jerusalem, Rule Britannia, God save the king … repris en choeur pas l’assistance. Ambiance assurée (à voir sur you tube ).

    • 6
      lazare-lag
      13 novembre 2022 à 21h32 / Répondre

      @ Pierre Noël (2):
      Puisque nous en sommes aux références cinématographiques ayant pour cadre le Royal Albert Hall, personnellement deux films m’ont marqué de ce point de vue là.
      D’abord « Les Virtuoses », de Mark Herman (1996).
      Avec Pete Postlewaite, Erwan Mc Gregor (débutant) ou Jim Carter.
      En pleine grève du secteur minier anglais, dans les années 1990, les personnages que l’on suit sont des mineurs par ailleurs membres d’un brass band, ou orchestre de cuivres. Les péripéties sociales de ces grèves rejaillissent sur chacun des membres de cet orchestre, voire le fragilisent. Il sera cependant gagnant d’un concours qui le fera se produire à Londres à l’Albert Hall. Mais la route est longue jusqu’à Londres.
      Plus récemment, en 2019, « The Singing Club » de Peter Cattaneo.
      Avec Kristin Scott-Thomas, Sharon Horgan, et une jeune actrice galloise, Gaby French, (également soliste remarquable, pour ne pas dire époustouflante dans un « Ave Maria » de toute beauté).
      Ici nous sommes sur une base militaire anglaise en 2011.
      les hommes, maris, fiancés, fils, sont en mission en Afghanistan. Il faut occuper les femmes restées sur place. Se monte une chorale, un peu de bric et de broc, sous l’égide de l’épouse du colonel, interprétée très finement par Kristin Scott-Thomas.
      Tout cela finira également à l’Albert Hall l’autorité militaire ayant sélectionné cette chorale pour s’y produire.
      C’est (vraiment) d’après une histoire vraie, inspirée de la toute première chorale de femmes de militaires au Royaume-Uni.
      Du coup, il me vient une question, voire une idée d’études, dans combien de films retrouve-t-on le Royal Albert Hall?
      Peut-être que notre frère suisse du GRA et de la GLSA, Dominique Freymond, grand cinéphile sur les colonnes, serait capable de nous le dire.

  • 1
    Fredoboleth
    13 novembre 2022 à 9h21 / Répondre

    Anubis, ne regarde pas, c’est horrible !!!

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