3e Marche de Noel

3e Marché de Noël maçonnique de Nivelles

Publié par Géplu
Dans Divers

Ce contenu est réservé aux abonnés.Pour accéder à cet article, vous pouvez choisir de :

*Vous pouvez déverrouiller jusqu’à 3 articles gratuitement.
mercredi 18 octobre 2017
  • 4
    BB
    24 octobre 2017 à 15h01 / Répondre

    Et voilà encore un qui confond « stylo bille  » et « Bic »… Ce serait bien, tiens, « marché du solstice d’hiver, maçonnique interobédientiel »… « Marché de Noël » c’est un nom générique qui dit bien ce qu’il veut dire « marché de la période de Noël » et n’a rien à voir avec la naissance d’un fils de dieu. Inutile de vous faire l’injure, je pense, de vous rappeler que ce sont les chrétiens qui ont piqué le concept à la fête de la lumière des païens. Chacun son tour ! Que c’est fatiguant de devoir chaque année justifier une appellation qui hérisse les plus « obtus » !

  • 1
    LEYGNAC MONDOLONI Michel
    18 octobre 2017 à 14h53 / Répondre

    je me trompe ? Les marchands sont vraiement dans le temple !

    • 2
      NEGRIER
      18 octobre 2017 à 21h15 / Répondre

      Vous vous trompez. C’est le rôle de la culture maçonnique de se diffuser et d’occasionner par là des activités qui permettent à leurs protagonistes d’en tirer un salaire et d’en vivre. Vous confondez les retombées économiques de l’activité spirituelle avec l’affairisme qui consiste à UTILISER le rite pour en retirer des bénéfices matériels au lieu de SERVIR le rite et d’en retirer des bénéfices matériels. Les maçons de Nivelles n’utilisent pas le rite, ils le servent : nuance de taille ! Quant à l’épisode évangélique qui décrivait Jésus de Nazareth chassant avec un fouet les marchands du temple de Jérusalem, il mettait en évidence le fait que Jésus avait malheureusement succombé lui aussi à la tentation du pouvoir, étape inévitable par laquelle passe tout maître spirituel ; si les sacrifices accomplis dans le temple de Jérusalem impliquaient un commerce d’animaux qui permettait à leurs vendeurs d’en vivre matériellement, c’était là une chose normale (les changeurs et les vendeurs visaient à servir le rite et non à l’utiliser) comme le montre dans les Actes des apôtres l’exemple analogue des orfèvres qui, au temple d’Artémis à Ephèse, fabriquaient des temples en miniature et les vendaient aux pèlerins pour en vivre sans que l’auteur des Actes, Luc, critique ce fait qui était totalement normal. Nous ne pouvons avoir qu’un souhait : c’est que le commerce des produits maçonniques s’étende et progresse : ce serait le signe qu’un plus grand nombre de personnes s’intéressent à la culture maçonnique !
      Patrick Négrier

      • 3
        Chouilla
        23 octobre 2017 à 10h43 / Répondre

        Mwais! Et puis Noël, c’est une fête religieuse typiquement maçonnique, c’est bien connu!

La rédaction de commentaires est réservée aux abonnés. Si vous souhaitez rédiger des commentaires, vous devez :

Déjà inscrit(e) ? Connectez-vous