GLMU 270124

De la culture de la guerre à la culture de la paix

Publié par Géplu
Dans Divers

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mardi 23 janvier 2024
  • 4
    lazare-lag
    24 janvier 2024 à 16h24 / Répondre

    Les trois observations faites ce jour par JMB dans son commentaire (2) sont pour le moins pertinentes.
    De ce point de vue là, j’apprécie particulièrement sa toute dernière interrogation.

    En effet, que peut-on sous-entendre par le titre initial :
    – « De la culture de la guerre à la culture de la paix? ». Pourquoi l’avoir proposé ainsi?
    Cela peut également s’interpréter – ainsi posé – comme quoi nous serions dans une culture de guerre, et qu’il serait opportun de se diriger vers une culture de paix.

    Sérieusement, en France et en Europe, il est quand même difficile de dire que nous, États membres de l’Europe, nous les 27, nous pourrions être ainsi dans une culture de guerre?
    D’autant que l’Europe et ses états membres, peu ou prou, bénéficient d’une « culture de paix (sic) depuis 1945, d’une part, et renforcée depuis 1957, d’autre part.
    Nous européens, nous bénéficions d’une paix durable sur nos sols nationaux depuis ces dates là, soit bientôt 80 ans depuis 1945, ou 67 ans depuis 1957.
    Et aucun des dits pays européens, dont la France, n’a connu une période de paix aussi longue sur son sol hexagonal, sur nos sols nationaux européens, dans nos histoires nationales respectives.
    C’est à noter, et à répéter sans cesse, surtout en année électorale européenne.
    Ce n’est d’ailleurs même pas une opinion, (le fait que nous soyons en paix depuis 80 ans), c’est juste un fait avéré. Historiquement incontournable.

    Pour ma part, au-delà de ces trois observations de JMB, je me permets d’en émettre une quatrième.

    J’observe que parmi les intervenants à ces tables rondes, trois y apparaissent avec une référence à un mandat d’élu politique, actuel ou passé, à savoir Messieurs Patrice Bessac, Pierre Ouzoulias et Patrick Le Hyaric.
    Or, il s’avère que tous les trois sont des membres du PCF.

    D’où question:
    – Lorsque des tables rondes sur des sujets aussi cruciaux que guerre et paix sont organisées, l’obédience organisatrice a-t-elle éprouvé de sérieuses difficultés à trouver des intervenants politiques d’un autre bord que celui-ci? Pourtant ces questions nous concernent tous.

    Ou bien, est-ce de propos délibéré que les intervenants politiques de cette journée, n’appartiennent qu’au seul et même mouvement politique?
    On s’interroge.
    Or, il me semblait que, lorsqu’on souhaite rassembler ce qui est épars, un peu plus de diversité politique aurait pu ne pas nuire.
    Mais ce n’est que mon humble avis.
    Exprimé autant pacifiquement, bien sûr, que maçonniquement.

    • 6
      Yonnel Ghernaouti
      24 janvier 2024 à 19h08 / Répondre

      Très cher Lazare-Lag,
      Comprendre la transition de la culture de la guerre à la culture de la paix en Europe contemporaine implique d’examiner comment les expériences historiques, notamment les guerres dévastatrices et les périodes de conflit, ont façonné la conscience collective et les politiques des nations européennes.
      Cette transition est donc le fruit d’un processus évolutif influencé par les expériences historiques traumatisantes et un engagement profond envers la coopération, l’intégration, le respect des droits humains et la résolution pacifique des conflits. Cette transition est continue et doit faire face à de nouveaux défis et dynamiques mondiaux.
      Nous pouvons éventuellemnt développer…

  • 3
    Luciole
    24 janvier 2024 à 16h16 / Répondre

    Un bien, commun ou pas, ne suscite pas forcément d’intérêt, général ou pas.

  • 2
    JMB
    24 janvier 2024 à 14h27 / Répondre

    La lecture de cette invitation de la GLMU m’interpelle :
    – quel rapport y-a-t-il entre les sujets abordés au cours des 3 tables rondes,
    – pourquoi, alors que 3 tables rondes sont prévues, ne prendre comme tête d’affiche que le thème de « De la culture de la guerre à la culture de la paix » ?,
    – après l’attentât du Hamas, le sujet de cette journée ne devrait-il pas être «de la culture de la paix à la culture de la guerre.» ?

  • 1
    Lazar-lag
    23 janvier 2024 à 12h41 / Répondre

    Pensant au Bien commun, il me revient quelques souvenirs relatifs plutôt à l’Intérêt général.
    Avec, par exemple, des bribes de cours de droit dans lesquels on nous donnait une définition de l’intérêt général selon laquelle celui-ci serait « supérieur à la somme des intérêts particuliers ».
    En conséquence de quoi, j’essaie de comprendre ce qui peut différencier Bien commun et Intérêt général.

    • 5
      Yonnel Ghernaouti
      24 janvier 2024 à 18h57 / Répondre

      Très cher Lazare-Lag,
      La différence entre le bien commun et l’intérêt général réside principalement dans leur portée conceptuelle et leur application dans le discours politique, social et philosophique.
      Pour faire court, le bien commun se concentre davantage sur des aspects tangibles et partagés qui améliorent la vie de la communauté, tandis que l’intérêt général a une portée plus large et englobe des principes et des politiques qui visent le mieux-être de la société dans son ensemble. Ces deux concepts se chevauchent souvent, mais leur utilisation et leur contexte peuvent varier donc en fonction de la discipline dans laquelle ils sont appliqués.

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