Le Rite en 33 Grades

Publié par Jiri Pragman
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mardi 15 novembre 2011
  • 40
    Jiri Pragman
    21 novembre 2011 à 17h59 / Répondre
  • 39
    Lumiere Ottomane
    21 novembre 2011 à 10h11 / Répondre

    @ Tous les profanes et les inities.

    Je ne veux donner de lecon a personne mais j’aimerais quand meme une derniere fois m’exprimer sur un sujet qui n’a plus de lien avec le titre du Post « Le Rite en 33 grades » mais dont le post a ete un stimulus pour des echanges de points de vue et notamment entre moi et Ronan. Et je voudrais reellement attirer l’attention sur la qualite de l’echange que nous avons eu par message interpose. Meme si nous n’avions peut-etre pas le meme point de vu, ou que l’on tentait d’exprimer des choses different, nous avons su faire preuve chacun d’humilites, d’ecoute, de sollicitude, de respect envers l’autre, et nous n’avons pas une seconde hesite a presenter nos excuses pour la mauvaise perception ou interpretation que nous avons pu avoir des messagges de l’un et de l’autre et ce en toute fraternite. Car chacun de nous a donner le sentiment de s’exprimer de maniere sincere, a la lumiere de son savoir et de sa connaissance et sans avoir l’intention deliberement de faire du mal, de froisser, de blesser son interlocuteur.Et nous nous connaissons nullement. Nous nous sommes jamais vu, et nous avons probablement vu la Lumiere chacun entre les colonnes mais a des Orients divers. Or nous avons tous les deux fait preuves d’un reflexe Fraternel entre initie. Et c’est tres differents des autres postes que l’on peut lire entre profane et initie, ou meme entre personne inite. Mais je voulais le dire sincerement car pour ceux qui sont a la recherche Du SECRET maconnique. Et bien l’un d’entre eux, c’est a dire du processus maconnique c’est aussi un peu ca. Et j’espere que j’aurais le plaisir et l’honneur de croiser un jour Ronan entre les colonnes dans un quelconque Orient pour lui faire l’Accolade Fraternelle.

  • 38
    Ronan
    20 novembre 2011 à 19h07 / Répondre

    @Lumière Ottomane
    Je suis désolé de t’avoir froissé car je ne mesurais pas le fait que le français n’est pas ta langue maternelle.

    Se « pavaner » (prendre des postures de paon) est quand même passablement péjoratif, et je ne pense pas que la plupart des frères qui ont fait l’effort nécessaire pour parvenir au IVe Ordre du RF ou au 18e ou 30e grade du REAA sont tous des paons.

    Ils ne portent leurs décors de « hauts grades » que dans les ateliers ad hoc et ne se montrent jamais en loge bleue ainsi attifés. Ils ne peuvent donc guère se pavaner auprès des frères moins « gradés ».

    Les ateliers dits « de perfectionnement » nécessitent un investissement personnel important : temps, travail, réflexion, le tout en petit comité, sans pouvoir profiter de ses titres « ronflants » dans sa loge de base. Il y a probablement beaucoup plus d’abnégation et d’intérêt personnel pour la recherche que de volonté de se « hausser du col » de la part des frères qui ont fait le choix « d’aller dans les hauts grades » et il est dommage de généraliser ce qui est probablement l’effet d’une rencontre négative.

    Amitiés très fraternelles, cher Lumières Ottomanes (très joli pseudo, soit dit en passant), et au demeurant bravo pour ta maîtrise du français qui m’a empêché de réaliser de prime abord que tu n’étais un « locuteur natif », comme on di!.

  • 37
    Phaleg
    20 novembre 2011 à 17h36 / Répondre

    Alain Bernheim a répondu aux ignobles et venimeux commentaires de  » rue du Persil « . Il remporte le prix d’Histoire au Salon du Livre maçonnique de Paris. Et toc, une fois encore, pour les deux petits hommes qui s’acharnent à vouloir éroder sa stature et sa statue.

    Admirons au passage le procédé qui consiste, pour un habitué de la très british rue Royale, à signer ses anonymes remugles de l’adresse bien connue des méprisables  » irréguliers « , la rue du Persil, afin de faire retomber sur ces derniers des commentaires abjects que tout maçon normal réprouve avec un haut-le-coeur. Loyala pas mort.

    Quant au  » grand historien de la maçonnerie belge autoproclamé « , l’innénarrable Br., il suffit de lire ce que  » rue du Persil  » a écrit à son endroit, à l’époque où il ne se servait pas encore de lui, après l’avoir exhumé, pour tenter de nuire à Bernheim. Edifiant….

    La maçonnerie d’aujourd’hui n’est pas nette. Elle est encombrée de membres, parmi lesquels il y a quelques centaines de Maçons seulement. Bravo à Alain, imo pectore, et gémissons pour le reste.

  • 36
    Lumiere Ottomane
    20 novembre 2011 à 10h10 / Répondre

    @Ronan. Cher Ami, j’ai bien relu le texte que j’ai ecrit sur cette page et je n’ai aucunement qualifie les athes d’imbeciles, et je ne me suis guere voulu moque des athees meme si j’aime l’autoderision et je dirais meme plus que je me moque bien souvent de moi-meme.
    Je sais que mon francais est limite, mais je n’ai aucun soucis que l’on m’en tienne rigueur, le but de tout cela est quand meme d’arriver a une certaine perfection de soit meme et de gommer ses inperfections et donc si j’en ai une, une reproche d’un initie ou meme d’un profane n’est qu’une lecon de plus pour moi et je m’en rejouis toujours. Toutefois , le verbe se pavane n’est pas un mot argot, ni une insulte, c’etait seulement une maniere de dire autrement que certain de nos freres sont excessivement fieres d’etre dans les hauts grades et que j’ai un autre point de vue sur le sujet. Sur mon tablier est toujours inscrit la mention Toujours Apprenti .
    Je ne vais pas revenir sur le mesage que je voulais faire passe dans mon poste Numero 31.
    Pour moi qui suis agnostique du fait de mes origines familiale multiconfessionnelle je n’ai aucun probleme pour que l’on interprete la Bible ou la Tora comme le VLS ou encore le Coran ou le Livre blanc et vice versa. Comme d’ailleurs l’invocation de Dieu ou du GADLU surtout lorsque je voyage dans des loge de la GLTSO par exemple.
    Par consequent, si j’ai heurte a un quelconque moment votre sensibilite de quelque nature que ce soit, je m’en excuse de la maniere la plus sincere. Et si vous pensez que j’ai dit une anerie, sachez que j’en ai prit note et que je ne renouvellerais pas cette anerie, tout du moins pas sur ce forum. C’est quand meme a mon avis une anerie qui est discutable et surtout ou il ne faut pas avoir d’opinion arrete. Je peux propose pour les hauts Grades la lecture du livre Vade-mecum des Hauts Grades de Claude Darche aux editions Dervy. Alors c’est le 4-33 pratique par le GLF-MM mais ca vaut quand meme un peu d’attention et de lecture. Amitie.

  • 35
    Jiri Pragman
    19 novembre 2011 à 17h36 / Répondre

    Alain Bernheim avec « Le rite en 33 grades » a été primé au Salon maçonnique du Livre de Paris dans la catégorie histoire.

  • 34
    Ronan
    19 novembre 2011 à 15h24 / Répondre

    La maçonnerie a été créée pour « être le Centre de l’Union » (Article 1er des Cionsititutions d’Anderson).
    Pour ce faire, elle a enjoint à ses membres deux obligations, qui les maintenaient à l’écart des querelles qui divisaient profondément l’Angleterre :
    1-Etre croyant, certes (l’athéisme, les Lumières « radicales » sont une attitude peu répandue à cette époque : la plupart des philosophes sont déïstes : lire l’excellent petit bouquin d’Onfray sur les Lumières radicales). Mais ne plus se battre pour un dieu spécifique. Au contraire, révérer le GADLU, plus petit dénominateur commun de la transcendance, et pratiquer la morale, véritable but de la religion. Bref, une ouverture d’esprit – du compas – extraordinaire dans un monde profondément divisié entre Catholiques, Anglicans et Protestants. restait à aller au bout du raisonnement : virer le GADLU revient à ouvrir le compas à l’infini pour faire place à ceux qui ne croient pas dans la transcendance. Rien de contradictoire, donc, bien au contraire. Pourvu, évidemment, que l’on contextualise le texte, que l’on fasse de l’Histoire, au lieu de révérer la parole révélée comme les intégristes religieux!

    2-Ne pas s’opposer au pouvoir politique.

    Le reste, ce sont des inventions de quelques gros malins (les LAndmarks des Antients puis de la GLUA) qui sont arrivés ainsi à verrouiller la concurrence via une sorte de « commission ad hoc » chargée de distribuer les anathèmes et les excommunications. Qui a dit Al Hazar ? Qui a dit « fatwas » ? Qui a dit « Vatican » et « excommunication » ? On est exactement dans la même logique, celle de l’exclusion par des intégristes qui bricolent les textes fondateurs pour leur faire dire ce qui les arrange. Donc, le GADLU, hein… N’en faisons pas un objet de querelle et d’exclusion, lui qui avait été fondé pour faciliter la recherche de l’Union.

  • 33
    Ronan
    19 novembre 2011 à 15h04 / Répondre

    Lumière Ottomane, l’étude de l’évolution du grade de RC au long de deux siècles et demi t’éclairerait. C’est un travail que j’ai entrepris et qui est très révélateur de la manière dont la maçonnerie (et singulièrement le GODF puisque c’est l’Obédience dominante, désolé) s’inscrit dans le siècle tout en prétendant se référer à une tradition immuable.

    Le RC est un formidable marqueur de l’évolution des mentalités.

    Compare les RC archaïques (Kilwinning) avec les RC fixés à la fin du XVIIIe (4e Ordre du RF), avec ceux du REAA vers 1830 puis à la fin du siècle (rituels complètement déchristianisés, le INRI chrisitique cèdant la place à un acronyme alchimique en latin de cuisine).

    Bref, avant de te moquer de ces imbéciles d’athées (j’en suis) qui se « pavanent » au RC (au 4e Ordre par exemple pour ceux qui sont au RF et y recherchent, ne t’en déplaisent, une véritable sagesse sans aucune intention de rouler des mécaniques avec leur sautoir rouge), pourquoi ne pas travailler et étudier l’histoire de l’Ordre. Connaître l’histoire permet souvent d’éviter de sortir une grosse ânerie, et, parfois, même, d’empêcher qu’elle ne repasse les plats!

  • 32
    Lumiere Ottomane
    19 novembre 2011 à 8h59 / Répondre

    Nous avons l’habitude de dire qu’en loge tout est symbole. Mais malgre tout, un certain nombre de personnes prennent le volume de la loi sacre au pied de la lettre, d’autre prefere un livre blanc ou encore une regle a la place du VLS. Meme pour les agnostiques, cela pose un probleme . Et je ne parle pas des athes. Alors la ou l’on vit une schizofrenie ou plutot la ou se trouve l’antagonisme, c’est de refuser totalement le GADLU, ne jamais l’evoque, prendre le VLS a la lettre et le refuser sur l’autel des serments, mais ensuite se pavaner d’etre au 18ieme dans les hauts grades: Le moins que l’on puisse dire c’est que le rituel pour l’acces au grade de Rose-Croix n’est pas vraiment des plus denude de sens religieux. Et il est difficile d’expliquer que ce n’est qu’un symbole lorsque l’on refute le symbolisme du GADLU et du VLS en loge bleue…..

  • 31
    Ronan
    19 novembre 2011 à 8h02 / Répondre

    Cher Patrick, le RF était tout aussi déiste que le REAA: aucune différence « ontologique » à la base, ni en « bleu » ni dans les hauts grades, les quatre Ordres reprenant une progression que l’on retrouve à l’identique au REAA entre les grades 9 et 18 (la bêtise de Roettiers fut de repousser le 30e grade et l’astuce du REAA de donner directement l’entrée dans les hauts grades au 18e, soit à l’équivalent du 4e Ordre. Dès lors, pourquoi aller s’embêter à passer par la filière française, puisqu’en entrant chez les Ecossais, on avait directement l’équivalent du « Nec plus ultra » du RF ? Et c’est ainsi que le REAA eut la peau du RF dans les hauts grades en très peu de temps, après 1810).
    Mais le caractère laïc du RF n’est pas consubstantiel à ses origines. Il est apparu suite à la mutation lente et progressive du GODF dont une partie des frères et des loges devinrent de plus en plus laïcs, voire parfois anticléricales au cours du XIXe siècle, jusqu’à la suppression de l’obligation à faire référence au GADLU par un célèbre Convent… Pas d’ontologie, donc, mais de l’Histoire…

  • 30
    Fly Tox
    19 novembre 2011 à 0h44 / Répondre

    @Emerek
    L’insulte ne résoud rien. Elle dégrade celui qui y recourt. Même en ces temps de crise, qui ont bon dos, un maçon se doit d’être maître de lui. Et le Blog maçonnique n’est pas le café du commerce.
    En quoi donc Ronan se trompe-t-il dans le poste 25 ci-dessus ? Ou est l’erreur historique ? Où donc est le dénigrement ? Je vais vous en donner un, moi, de dénigrement. Je prends ce qui devrait être votre Bible, à vous les REAA. Je le trouve à la page 4 du Guide des Maçons Ecossais, (de 1825 à 1830), selon Daniel Ligou, et qui a été copié, jusque dans sa typographie, du Régulateur du Maçon du Rite Français de 1801…Je cite :  » des mesures sont prises pour que les exemplaies ne soient confiés, pour le débit, qu’à des Maçons qui se soient acquis le plus haut degré d’estime et de considération, afin d’éviter que ce Guide des Maçons Ecossais n’eprouve UNE PUBLICITE AUSSI SCANDALEUSE que celle qu’on donne journellement aux Cahiers du Rite Français sous le titre de Régulateur du Maçon ».
    Ceci se trouve noir sur blanc dans la Bible des Ecossais, c’est à dire du REAA.
    Alors, qui essaie de vendre, de  » débiter  » ses cravates, en lorgnant sur l’inventeur ?

  • 29
    EMEREK
    18 novembre 2011 à 22h03 / Répondre

    Ce qui est terrribbble avec Ronan c’est qu’il faut toujours qu’il se drape dans une posture de voyageur de commerce et de bateleur de foire…
    Certes le rite Français est intéressant et fait partie du paysage maçonnique , qui le niera.?
    Mais alors pourquoi vouloir dénigrer l’autre pour essayer de vendre ses cravates originales ….

    On sait depuis longtemps que Ronan appartient à la plus Grande obédience,la plus Ancienne,la plus Titrée,la plus ……..

    Peut-on lui demander de laisser vivre les frères du REAA …. en toute fraternité (s’il comprend ce dernier terme ???)

  • 28
    Patrick37
    18 novembre 2011 à 20h01 / Répondre

    Chers Quen , Ronan et Benacar,

    Ecossisme était un raccourci pour qualifier le fameux foisonnement des grades dits « Ecossais » qui, dit-on, pullulaient; en 1801 est publié le « Régulateur », généralisé dans les années 1804 et ss. A partir de 1804, le REAA (pour faire court) entre en scène et se différencie de son « concurrent » par son fond déiste

    D’accord pour dire aussi que le Rite « Français » est apparu avant le Rite « Ecossais », mais ce dernier conserve une forme de Déisme que le « Français » ne connait pas; quand je parle d’Ecossisme, c’est de cette notion déiste qu’il est question. Je maintiens toujours mon idéal de voir l’Ecossisme « déiste » se réunir…au risque de faire surgir une internationale carolinienne (;-)

    Quant à l’UMURM, je vais m’instruire sur le sujet.

    Cordialement,

    Cordialement,

  • 27
    Benacar
    18 novembre 2011 à 18h27 / Répondre

    Je viens de lire Ronan, et je me délecte. Pourquoi donc cette tradition, en maçonnerie, qui fait que les plus anciens veulent s’appeler nouveaux, tandis que les plus récents se prétendent anciens ? Le Rite Français était bien là lorsque les « caroliniens » comme disait feu Charles Porset ont débarqué avec leur pseudo rite de perfection obscurément complété dans des circonstances que j’espère découvrir en détail chez Bernheim. Je lis sous la plume de Patrick :
     » je prêche pour un retour intégral à l’Ecossisme en souhaitant une Fédération des SSCC de REAA français où chacun garderait ses prérogatives et particularismes ».

    Quelle excellente idée, mais un peu tardive…A Barcelone, en juin de cette année, le Congrès International du Rite Moderne Français a réuni diverses juridictions dans un esprit de liberfté, d’égalité et de fraternité absolue, et a fondé dans l’enthousisme l’UMURM, soit l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.
    Ce qui est réalisable dans les « loges » doit aussi l’être dans les « temples », non ?!

  • 26
    Ronan
    18 novembre 2011 à 17h58 / Répondre

    @Patrick 37
    Houlà, « écossisme » ???
    L’écossisme, c’est ce foisonnement de hauts grades anarchiques qui a fleuri en France essentiellement dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle.
    Le GODF s’en empara pour en faire un système cohérent de hauts grades en « quatre Ordres plus un » dans les années 1770 (Roettiers de Montaleau). Puis ces hauts grades revinrent des Amériques et des Antilles en 1804 dans la besace de Grasse Tilly qui en fit en 1806 un système dit Ecossais en 25 grades (en ajoutant trois grades de base inspirés des « Antients » aux hauts grades dont il détenait les patentes et qu’il constitua à son tour en système cohérent). Enfin, le système se figea un peu plus tard sur 33 grades.
    Confondre l’Ecossisme et le REAA est une figure de style courante chez ceux qui prétendent que leur système remonte aux origines. Les Antients autoproclamés n’ont pas agi autrement en Angleterre en 1751.
    La réalité est que deux systèmes de hauts grades concurrents sont nés de l’Ecossisme et que le plus ancien, et de loin, est celui du Rite Français. Enfin parler d’un SC en 1804 témoigne quand même, comment dire, d’une réelle audace historique!:=))

  • 25
    Quén affère à Lidje !
    18 novembre 2011 à 15h06 / Répondre

    @ Patrick37

    Quel Ecossisme ? Je vous taquine un brin, je l’admets 😉

    @ Dr. de Peney

    En fait, avant de répliquer, je me suis demandé si vos interventions méritaient une quelconque réponse.
    Outre celui de fréquenter des Frères français, j’ai aussi le bonheur de fréquenter des Fères valaisans.
    Votre particule me laisse pantois. Tout comme les autres titres et qualités dont vous vous revêtez, avec une insolence qui frise l’iimpertinence.

  • 24
    Patrick37
    18 novembre 2011 à 14h45 / Répondre

    Bonjour à tous,

    Dommage que l’ « Historien de Villiers » reste muet ou bien n’ait pas encore lu le post; franchement, je prêche pour un retour intégral à l’Ecossisme en souhaitant une Fédération des SSCC de REAA français où chacun garderait ses prérogatives et particularismes. Mais, de grâce, inutile de tirer la couverture à soi en anti-datant sa propre histoire mais en reconnaissant ce qu’il doit au SC-Père: le REAA sis Rue Puteaux!

    Le Rite Écossais Ancien & Accepté vaut bien celà!

    Cordialement,

  • 23
    Jiri Pragman
    18 novembre 2011 à 14h37 / Répondre

    Le « chevalier » Peney a oublié qu’il a signé en son temps des communiqués communs avec un autre Grand Maître virtuel, celui du GOAO.

    Toute procédure peut être menée contrairement à ce que prétend le « Grand Commandeur » puisque mon hébergeur doit fournir toute information à la justice si nécessaire.

    Quant à la presse suisse, je suis, pour ma part, capable de la lire, contrairement au « Professeur docteur » qui veut faire dire à cette presse ce qu’elle n’a jamais écrit. Dommage que ces pseudo-Grands Maîtres et leurs délires encombrent l’espace maçonnique. Heureusement, ils n’abusent pas grand monde.

  • 22
    Dr. de Peney
    18 novembre 2011 à 14h29 / Répondre

    Monsieur dit Jiri Pragman 18° GOB n’a jamais édité sa biographie. Quid probet ! Se masque derrière un pseudo et se tient pour l’instant à la frontière des possibilités de procédure. En ce qui me concerne j’ai toujours écarté et dénoncé les personnages du style Aractingi et les hybrides de M.M. lesquels en leur temps été bien accueillis par Hiram.be.Je cesse quant à moi de perdre mon temps avec Vous et vos thuriféraires exaltés . N.B.Il vous est possible de consulter la Presse Suisse &Vaudoise ou le Parquet Général Vaudois .

    Dr. de Peney Jurisconsulte Lausanne

  • 21
    Quén affère à Lidje !
    18 novembre 2011 à 11h44 / Répondre

    @ Patrick37

    Votre analayse SCPLF vs. SDCF est totalement et parfaitement avérée.
    Le Suprême Conseil DE Belgique, auquel j’appartiens, a d’ailleurs reçu patente du SCDF.

    Pour le surplus, les autres post concerant ce sujet sont attristants, et c’est un euphémisme. Ces petites géguerres de « régularité » à l’anglo-saxonne sont navrantes.

  • 20
    Alain Bernheim
    18 novembre 2011 à 10h49 / Répondre

    Mr de Peney délire. Il s’était permis d’écrire le 15 novembre : « A.Berhneim […] fait de très larges « emprunts » aux livres de Riandey et de Mattéi. Et il les vend. Cette attitude de copier-coller est particulièrement intolérabl ».

    Je lui ai répondu : Prenez la peine de lire la page 662 de mon livre où vous verrez que Raoul Mattei m’a autorisé à utiiser et à publier les documents qu’il m’a confiés. J’ai échangé soixante-dix-neuf lettres avec Raoul Mattei depuis le 27 décembre 1989. Si vous voulez mettre en doute l’extrait que j’ai cité, c’est votre problème.

  • 19
    Jiri Pragman
    18 novembre 2011 à 10h48 / Répondre

    Ma bio est en ligne et mes titres sont avérés. Pour ma part, je ne me suis jamais acoquiné avec d’obscures Obédiences.

  • 18
    Dr. Jacques de Peney
    18 novembre 2011 à 10h31 / Répondre

    Qui est monsieur Pragman, va t’il enfin se découvrir ? Un nouvel inquisiteur ! S’arroge t’il le droit de juger les autres ? Le jour où il exposera sa biographie détaillée de visu, je ferai de même, mais entre temps consulter bien le Web !

    Prof Dr de Peney

  • 17
    Jiri Pragman
    18 novembre 2011 à 9h44 / Répondre

    Certes, on ne doit pas nécessairement juger une critique en fonction du commentateur. Mais y aurait-il moyen de savoir réellement qui est « Jacques de Peney » ? D’où lui viennent ses titres de « Prof », « docteur », de « Grand Commandeur » et que sont concrètement cette « Union des Juridictions de la Méditerranée »et ce CERUMO installé lui aussi en… Suisse.

  • 16
    Dr. de Peney
    18 novembre 2011 à 9h26 / Répondre

    Avis au folliculaire spécieux et aux thuriféraires anonymes et aux autres, que monsieur Bernheim Alain, pianiste retraité depuis 1980, résident francais fiscal à Montreux depuis 2002, a reconnu les faits d’emprunts etc…Prétend à un accord. Se refuse à le justifier. Dont acte.
    Notre action consiste à vérifier la protection des droits d’auteurs.

    Prof Dr de Peney Jurisconsulte Lausanne

  • 15
    Dr. de Peney
    18 novembre 2011 à 9h19 / Répondre

    avis aux thuriferaires anonymes et aux autres courageux… comme au folliculaire insidieux que monsieur Alain Berheim, pianiste retraité depuis 1980 résident francais fiscal à Montreux depuis 2002 a reconnu les « emprunts » par courriel d’hier, prétend à un accord mais se refuse à le justifier. Dont acte. Nous ne cherchons aucune polémique mais uniquement la protection des oeuvres réelles d’auteurs.
    Dr. de Peney Jurisconsulte – Lausanne

  • 14
    Mnésis
    17 novembre 2011 à 21h54 / Répondre

    @ Patrick37

    Cet [ arbre url: http://www.reaa.info/24/pages/Juridictions.htm ] et l’article d'[A.B] ci dessous sont porteurs de dates qui légitiment ton approche (si besoin était )

  • 13
    Patrick37
    17 novembre 2011 à 19h33 / Répondre

    Bonsoir à tous,

    Évidemment, notre Frère A.B. (il signe souvent ainsi) est un chercheur sincère et objectif; l’ « Historien de Villiers » certainement aussi!

    J’eusse aimé que ce dernier réplique à mon post du 15 Novembre, au moins pour nous éclairer, tous les lecteurs, et moi-même, de ce Blog.

    C’est vrai qu’affirmer que le SC POUR La France a simplement « changé de local » est un raccourci qui n’a que l’avantage d’une formule-choc et l’inconvénient d’un mensonge historique: le SCPLF est un SC scissionnaire et spoliateur ; c’est le SCDF sis Rue Puteaux qui est le continuateur absolu de celui de 1821 (ou 1804, si l’on veut « faire bien »).

    Voilà où en est ma compréhension et si je me trompe lourdement, que l’ « Historien de Villiers » (que je respecte, de toute façon) me démontre le contraire: s’il ne le fait pas, qu’un Lecteur de ce blog prenne sa plume (anachronisme, bien sûr!) et le fasse.

    Oserais-je même espérer que le Frère A.B. nous éclaire de sa connaissance sur ce sujet?

    Cordialement,

  • 12
    Fly Tox
    17 novembre 2011 à 16h03 / Répondre

     » Rassembler ce qui est épars « , certes, et puis aussi en ces temps pré-électoraux, apporter  » le changement « . C’est dire, sans besoin de s’apesantir, à quel point ce que fait l’homo economicus et politicus contemporain est constamment dispersé, bâclé, incohérent, éphémère, puisqu’à chaque élection, de quelque nature qu’elle soit, il faut  » changer  » et  » rassembler ce qui est épars « . Faites le compte des rassemblements et des changements qui seront proposés d’ici à mai 2012…Tout est dispersé et tout doit être changé en permanence, constat amer sur lequel je dois bien, à contre-coeur, donner raison à Guénon. Quel candidat à ceci ou cela ne sera pas rassembleur et changeur ? Cela en devient comique, si ce n’était tragique. Mais qu’est-ce donc qui nous rend aussi volatiles ? Et qu’est-ce qui fait que maître du Corbeau laisse toujours choir ses fromages au profit de maître Goupil ?

  • 11
    EMEREK
    17 novembre 2011 à 15h33 / Répondre

    Riandey doit se retourner dans sa tombe en voyant ce qu’est devenu le SCPF…..

    Tout ça pour ça !!!!

    Ecossais de France rassemblez ce qui est épars !!!

  • 10
    Jiri Pragman
    17 novembre 2011 à 6h48 / Répondre

    « J’y vais » a précédé ma réaction. On sait que je n’interviens pas nécessairement dans les commentaires mais il se fait quand même que j’ai lu ce livre et qu’il est assez clair que toutes les sources sont mentionnées (certains évoquent l’abondance de notes) et que les citations sont intégrées dans les règles de l’art.

    C’était mon commentaire à propos de certaines interventions (certaines ont été modérées comme prévu ici et par les lois françaises notamment). A propos des commentateurs mêmes, je vois surtout des jalousies d’historiens dont la notoriété n’atteint pas celle de Bernheim (jalousie?) ou d’obscur responsable de structure « maçonnique » ténébreuse.

  • 9
    J'y vais
    17 novembre 2011 à 0h02 / Répondre

    La réaction du  » détenteur des archives numérisées  » est odieuse et insultante pour la grand historien et chercheur qu’est Alain Bernheim. Son petit détracteur inconnu ne peut même pas recopier correctement l’orthographe de son nom . Reprocher à Alain Bernheim de faire du copier-coller est d’une totale absurdité pour qui connaît les travaux MAJEURS d’Alain, et les découvertes capitales qu’il a faites de très longue date dans les archives les plus inattendues et les plus inaccessibles. Et qui ne les connaît pas…Réduire un auteur d’une telle stature internationale à celle d’un  » musicien retraité  » est d’une bassesse confondante, lorsque l’on sait que ce grand interprète de Chopin dut abandonner une carrière internationale de pianiste pour cause de maladie. Il s’est reconverti dans l’histoire maçonnique, mais sous l’angle de la critique historique et moyennant une méthode scrupuleuse de citation complète des sources et de recoupement des informations. Ce qui est vraiment intolérable, ô détenteur des archives numérisées, c’est de se permettre de publier de pareils libelles volant au ras du sol, dont le venin n’apporte aucune satisfaction à personne, si ce n’est à vous-même.

  • 8
    Jiri Pragman
    16 novembre 2011 à 9h44 / Répondre

    @mayala

    Votre commentaire est pour le moins obscur.

  • 7
    Patrick37
    15 novembre 2011 à 21h38 / Répondre

    Bonsoir à tous,

    Pour l’ « historien de Villiers » :

    Le TPSGC Riandey n’a-t-il pas été destitué de sa Gde-Commanderie l (en décembre 64) suite à la publication du Décret (septembre 64) interdisant à la GLDF de se prétendre « du Rite Ecossais Ancien & Accepté » ? En ce cas, comment considérer que le SCDF n’aurait fait que « changer de local » ?

    Je crois même (de mémoire) que la destitution entraînant la déchéance de tous les degrés, titres etc, de l’ancien 33° Riandey a été votée à l’unanimité du SCDF, moins deux abstentions; de plus, les Frères ayant accompagné Riandey dans sa scission sont presque tous revenus au SCDF.; en ce cas, la presque totalité du SCDF EST RESTEE R. Puteaux et c’est la partie (infime: un seul Membre du SC : Naudon…qui voudra revenir au SCDF) scissionnaire qui s’est retrouvée sans domicile fixe…Dieu que l’histoire est compliquée !

    merci, cher « Historien de Villiers », de compléter, d’infirmer ou même de préciser ce qui précède.

  • 6
    Dr. J. de Peney
    15 novembre 2011 à 17h32 / Répondre

    Détenteur des archives numérisées des Gds. Cdeurs Riandey et Mattei, j’ai à plusieurs reprises fait publication réservée et gratuite de ces archives. A.Berhneim francais résident à Montreux, musicien retraité- fait de très larges « emprunts » aux livres de Riandey et de Mattéi. Et il les vend. Cette attitude de copier-coller est particulièrement intolérable. Les journalistes vaudois et lausannois en ont été conscients de visu. Prof.Dr. de Peney cerumo@orange.fr

  • 5
    mayala
    15 novembre 2011 à 15h55 / Répondre

    j’espère que je veux périphrasé ce que monsieur Alain Mercadier a dit que tout maçon est soucieux de l’histoire de la franc-maçonnerie et il aura aussi besoin d’etre au-dessus des choses de la mort pas vrai Monsieur jiri?

  • 4
    L'Historien de Villiers
    15 novembre 2011 à 13h54 / Répondre

    Concernant la création du Suprême Conseil pour la France, je voudrais apporter le témoignage de Marius Lepage tel qu’il figure dans un extrait d’une lettre du 26 janvier 1966 adressée à un Frère de la Sarre et conservée aux Archives de la GLNF/ Fonds central du boulevard Bineau/ Art 326, où j’ai pu la consulter.
    Lepage y soutient la thèse d’une continuité enttre le Suprême Conseil de France et le Suprême Conseil pour la France.
     » Ce Suprême Conseil n’est pas un nouveau Suprême Conseil. Il faut bien comprendre l’évolution de la situation telle qu’elle s’est produite très rapidement au cours de l’année 1965. Charles Riandey, le très puissant Souverain Grand Commandeur, a quitté la Grande Loge de France. Il a emmené avec lui un certain nombre de membres du Suprême Conseil qui étaient rattachés à la Grande Loge. C’est ce Suprême Conseil qui, en changeant je ne dis pas d’Obédience, mais de local, a donné naissance, ou plutôt, s’est perpétué dans le Suprême Conseil actuel. Naturellement, il manquait au moins la moitié des membres pour que le Suprême Conseil pût être reconnu comme valablement constitué. Aussi, en plus de ceux appartenant à l’ancien Suprême Conseil qui l’avaient suivi, Riandey a procédé à un certain nombre de nominations parmi les membres de la Grande Loge qui étaient passés à la Grande Loge Nationale Française et qui n’appartenaient pas préalablement au Suprême Conseil. En outre, il a demandé au Grand Maître Van Hecke de désigner quatre Frères de la Grande Loge Nationale Française qui appartenaient déjà à cette Grande Loge, afin de compléter le Suprême Conseil de Riandey, et Van Hecke a désigné ces quatre Frères, dont Baylot et moi- même ».

  • 3
    Mnésis
    15 novembre 2011 à 11h53 / Répondre

    Cher Jiri

    Pas encore lu, mais semble – d’après ce que tu écris et les commentaires 1 et 2 – compléter les ouvrages de Mattei

  • 2
    Quén affère à Lidje !
    15 novembre 2011 à 10h03 / Répondre

    Je rejoins le post d’avant et j’ai d’ailleurs déjà eu l’occasion de m’exprimer il y a peu sur ce blog lors de la première évocation de cet ouvrage.
    Un petit bémol tout de même lorsque son auteur parle brièvement de ce qui se pratique au sein du Suprême Conseil de Belgique dont il n’a pas l’air de connaître le fonctionnement. Ce qui : 1) n’enlève bien entendu rien à la qualité du reste de l’ouvrage 2) est rassurant. Même en étant 33ème, nous ne sommes pas infaillibles 😉

  • 1
    Alain Mercadier
    15 novembre 2011 à 8h46 / Répondre

    Cher Jiri,

    Je partage entièrement votre point de vue. Le livre de Bernheim doit se concevoir comme un ouvrage de référence, compte tenu du nombre de notes en bas de page et de la structure même de ce livre.

    Mais où peut on trouver autant d’éléments consacrés à la création des Suprêmes Conseil américains ou à la présentation de la conférence de Lausanne ou encore aux origines de s Suprêmes Conseils britanniques ? ( en français ).

    Je pense que tout maçon soucieux de l’histoire de la Maçonnerie quel que soit le rite qu’il pratique se doit de posséder cet  » opus  »….[

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