poisson d avril

Oh le gros poisson!

Publié par Géplu
Dans Divers

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lundi 2 avril 2018
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  • 20
    KUNTZ
    9 avril 2018 à 15h41 / Répondre

    Réponse à 7
    JE propose que l’on retire le « e » de Secrétaire quand la fonction est occupée pae un homme, car tout le monde sait bien que Secrétaire se termine par la lettre « e » parce qu’à l’origine la fonction était réservée aux femmes.
    Et le Secrétaire est un meuble …
    Continuons de travailler à l’amélioration de l’Homme et de la société (au fait pourquoi Homme avec « H » majuscule

    je vous embrase fraternellement

    • 21
      lazare-lag
      9 avril 2018 à 21h20 / Répondre

      Il me semble que dans sa réponse à 7, à notre S. Angélique en fait, notre F. Kuntz ouvre une voie humoristique.
      Envie de poursuivre dans cette veine :
      1/ On nous dit que le mot Secrétaire vient d’une fonction occupée par les femmes.
      Puis on nous dit que le Secrétaire est un meuble.
      Par un syllogisme très apparent est-on en train de vouloir nous faire comprendre, puisque secrétaire est femme et que secrétaire est meuble que la femme est un meuble?
      2/ On suggère d’enlever le « e » final quand Secrétaire est un homme. Dans quel cas suggère-ton d’enlever le verbe « taire », taire étant une censure, peut-être celle de taire un secret?
      3/ Est-ce si sûr que cela que l’origine du mot secrétaire soit féminine, je n’en suis pas si sûr. Dans les Cours royales et pas seulement la française, la fonction de Secrétaire était de haut rang, et exercée par des nobles de haut rang, et masculins.

  • 14
    Camille
    4 avril 2018 à 19h48 / Répondre

    Une expérience authentique, je le jure! Il faut savoir qu’à la GLMF, on appelle « Sérénissime Grand Maître » ledit ou ladite Sérénissime, qu’il s’agisse d’un F ou d’une S. Un jour, lors d’une cérémonie solennelle, la Sérénissime étant une vénérable S de 80 balais, un F s’est levé pour parler, sa langue a fourché, et il a commencé joliment: « Sérénissime Grand Mère »…

  • 13
    Laurent
    3 avril 2018 à 13h53 / Répondre

    Je ne sais comment rappeler que le neutre n’existe pas en français.
    La distinction entre l’individu et la fonction est (pardonnez-moi mes sœurs et frères) une jolie fumisterie qui ne résiste ni à une analyse linguistique, ni philosophique, ni symbolique.
    Pamina, je pense que nous corrompons les mots. Quand un enfant parle de sa maîtresse, il n’y a il me semble aucune ambiguïté. Un quiproquo, ça arrive.
    Sinon, il va falloir arrêter de jouer « aux boules », etc….
    Egalité ????? Que nous F.M en sommes bien loin. Que de murs, de préjugés, et surtout de crainte.

    • 15
      Pamina 22
      5 avril 2018 à 9h13 / Répondre

      Bien sûr que pour un enfant il ne peut y avoir d’ambiguïté. Mais quand l’enfant porte le même prenom que son père, que le dit père est une personne connue et que lors d’une réunion, tu entends ah vous êtes la maîtresse de….? J’ai bien sûr répliqué non son institutrice…reconnais mon frère que la situation est gênante. ..

      • 17
        Christian C
        5 avril 2018 à 10h55 / Répondre

        Et si l’enfant est le neveu de l’oncle du cousin de ma tante ?…
        Tu crois pas que tu vas chercher la petite mouche un loin Pamina ?
        Cela concerne combien de cas particuliers potentiels ton histoire, par rapport aux millions d’enfants scolarisés ?
        Et comme tu dis, il est de toute façon dans ce cas facile de rétablir les faits.

        • 18
          pamina22
          5 avril 2018 à 14h33 / Répondre

          réponse typiquement masculine

          • 19
            lazare-lag
            5 avril 2018 à 19h17 / Répondre

            J’aimerai bien qu’on m’explique ce que peut être:
            1/ une réponse typiquement masculine,
            2/ une réponse typiquement féminine,
            et, soyons fous, poussons l’ironie jusqu’au bout:
            3/ une réponse typiquement maçonnique!

  • 12
    KUNTZ
    3 avril 2018 à 13h43 / Répondre

    N’OUBLIONS PAS DE TRAVAILLER AU DÉVELOPPEMENT INTELLECTUEL ET SOCIAL DE L’HUMANITÉ

  • 4
    charpentier
    2 avril 2018 à 16h13 / Répondre

    si cette fiction arrive un jour, il serait juste d’appeler cette soeur, grand maitre, afin de ne pas révéler un clivage supplementaire. le « maitresse » soulignerait d’autant plus la différence entre les genres.
    nous sommes entre francs maçons, pas entre hommes et femmes!
    il n’y a qu’un seul genre, et il s’agit du genre Humain.
    alors cessons de créer des différences.
    Sylvie, Vénérable maitre.

    • 5
      lazare-lag
      2 avril 2018 à 18h10 / Répondre

      « Sylvie, Vénérable Maître ».
      D’une loge au G.O.D.F.?
      Ou d’ailleurs?
      Assez d’accord avec toi sur le fond, indépendamment de la réponse à venir à la question posée.
      Car selon réponse, il me semble que le sens de ton intervention serait légèrement différent.
      Signé: Lazare, 2nd Secrétaire.
      (Mince: secrétaire c’est féminin ou masculin? Bon, bon, j’arrête de taquiner, désolé je n’ai pas pu résister à un peu d’humour…).

      • 6
        charpentier
        2 avril 2018 à 19h12 / Répondre

        d’une loge du GODF, MTCF

        • 8
          Christian C.
          2 avril 2018 à 19h21 / Répondre

          Quand tu ouvres tes travaux, ma sœur Vénérable Maître, Tu dis Mes Frères et mes Sœurs, ou seulement mes Frères, même s’il y a des Sœurs sur les colonnes ?

          • 11
            GépluAdministrateur
            2 avril 2018 à 21h33 / Répondre

            Lors d’une visite il y a déjà quelques années (avant 2010) dans une loge du GO qui recevait les Sœurs en visite, et alors qu’il y avait des Sœurs sur les colonnes, un vieux Frère de la loge a pris la parole en disant : « Mes Frères, tous mes Frères en vos grades, sexe et qualités… ».
            Ce n’est pas si idiot que cela…

          • 16
            Olivier
            5 avril 2018 à 10h06 / Répondre

            Mon Cher Christian, selon moi, s’agissant de la fonction, le genre peut rester « neutre », s’agissant du membre le genre peut être identifié. J’appellerai ainsi une S. au poste de 2nd Sur. : « Ma S.°. 2nd Sur.
            Pour moi dans ces conditions je trouve le bon équilibre 😉

        • 10
          lazare-lag
          2 avril 2018 à 19h49 / Répondre

          Donc c’est un commentaire de l’intérieur de l’obédience (qui est également la mienne) et c’est bien.
          Ce qui mériterait d’être désormais mieux connu au G.O.D.F. ce serait de savoir, ou d’actualiser les données suivantes:
          1/ combien de SS au G.O.D.F.?
          (Personnellement j’avais 1.500 en tête, on m’assure que nous en serions désormais à 3.000).
          2/ combien de loges mixtes actuellement?
          3/ éventuellement combien de loges uniquement féminines?
          4/ combien de Vénérables féminines?
          5/ et last but not the least, combien de femmes au grade de Maître?
          La réponse à cette dernière n’étant pas sans conséquence pour la suite, non?

      • 7
        Angélique
        2 avril 2018 à 19h13 / Répondre

        2eme Secrétaire ou 2eme Surveillant(e) ?… :-))

        • 9
          lazare-lag
          2 avril 2018 à 19h30 / Répondre

          Merci TCS Angélique de ta réactive… « surveillance ».
          Effectivement, ai rédigé trop vite, occupant l’un, ayant occupé l’autre, me suis mélangé les pinceaux et trop tard pour rectifier quand je l’ai vu.
          Il fallait donc lire évidemment, et uniquement, Secrétaire.
          De toute façon l’effet humoristique recherché n’est valable qu’avec un mot ambigu comme secrétaire.

  • 3
    Pamina 22
    2 avril 2018 à 14h58 / Répondre

    Au Droit Humain le problème ne se pose pas. Par contre je ne suis pas du tout d’accord pour féminiser les fonctions. Je ne supporterai pas d’etre appelée maîtresse. ..Dans le monde profane j’ai interdit à mes élèves de m’appeler ainsi à la suite d’un quiproquo très désagréable. Mes élèves m’appelaient par mon prénom tout simplement.

  • 2
    Patrice Deriémont
    2 avril 2018 à 14h44 / Répondre

    @Geplu. Nous étions nombreux je pense à avoir remarqué que nous étions un 1er avril. Il m’avait semblé et je suppose aussi aux Frères et aux Sœurs qui en ont fait abstraction que le sujet était si important sur le fond, que tu nous donnais l’occasion de débattre de l’opportunité d’une candidature féminine au GODF. Alors pour ceux qui ont bien ri de la blague et pour tous les autres, merci…

  • 1
    Joël
    2 avril 2018 à 9h10 / Répondre

    Tout à fait d’accord.

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