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Géplu.
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Sur l’article de mon blog, je n’utilise pas ce portrait bien qu’il figure sur les dernières publications (livres et colloques) consacrées à ce personnage. Il s’agit d’un choix iconographique du site hiram.be. En effet, il y a peu de chance que le portrait soit celui de Grasse-Tilly portant la Grand-Croix de la Légion d’Honneur (ou d’un autre Ordre, la représentation n’est pas très claire) à moins d’une usurpation de décoration. Grasse-Tilly était seulement chevalier. Il a été nommé officier en juin 1815, mais il semble ne jamais avoir été armé. Aussi est-il toujours cité comme chevalier. Néanmoins, il est possible qu’une des sources de cette erreur vienne du musée franco-américain de Blérancourt où l’on trouve sous le numéro 63C1 un portrait miniature dit de Grasse-Tilly semblable à celui qui nous occupe.
Merci de vos rappels.
Ce portrait avait une bonne place dans le bureau de Baranger, avenue de Villiers. Je lui ai fait remarquer, il y a 25 ans, que ce ne pouvait être celui du comte de GT, mais d’un autre (tristement célèbre) officier de l’époque.
Il s’agit ici du maréchal NEY, qui, à l’armée, portait le surnom de « Le Rougeaud en raison de ses cheveux roux.
Ce portrait ne peut être celui de Grasse-Tilly. Je l’ai déjà signalé à diverses reprises et en différents endroits, mais « vox clamantis in deserto »… Ce serait plutôt le maréchal Ney.
Grasse-Tilly ne portait ni cette décoration ni cet uniforme.